« S’il y a un domaine où les parlementaires ont été particulièrement féconds, c’est celui de la 3ème correction du Rhône. De l’aqueduc, cher au député Albert Pitteloud, aux demandes de nouvelles études de variantes, les interventions ont été nombreuses. Le Conseil d’Etat peut-il nous donner une estimation des coûts induits par ces interventions ainsi que les autres incidences, par exemple en termes de retard dans les délais de réalisation des mesures de sécurisation ?
Les soussignés sont particulièrement inquiets du retard pris, par rapport à une première planification, dans la zone de Fully. En effet, avec la carte provisoire des dangers actuelle, la zone bâtie et à bâtir inondable avec plus de 2 m d’eau est de 130 ha. La nouvelle carte des dangers… »
Extrait de l’intervention au Grand Conseil du député Camille Carron, 17.03.2011